eRikm, électronique | Natacha Muslera, voix
Cartouche
ce sont des «
fragments qui se détachent d’un corps, comme un pare brise vole en
éclats. Il n’y est pas question d’émotions. L’auditeur peut
être affecté, cet affect lui sera propre, imprévisible, donc non
prédéterminé par notre duo».
Avec
eux, ne parlons pas d’univers, mais plutôt «
en terme sonore et musical ».
Pour
eux, «
l’auditeur doit se questionner et peut-être d’arriver à
s’émanciiper de ses ressentis trop émotifs qui l’empêchent
d’être dans l’expérience pure et/ou de dépasser ses limites,
liés à ses propres conditionnements esthétiques ».
Ils
n’ont pas forcément d’inspirations, «
il s’agit d’un travail sur l’instant. L’espace dans lequel a
lieu le concert constitue une source d’inspiration, son acoustique,
ses matériaux, ses surfaces réfléchissantes, son épaisseur, sa
vibration etc... Ce que fait l’autre musicien dans l’instant,
aussi, ainsi que les auditeurs. »
Ce vendredi 31 janvier au Consortium ils ne savent pas ce qu’il va se passer, ce sera
certainement de la musique improvisée libre. «
Si nous le savions déjà, quel serait l’intérêt de venir pour
nous et vous ce soir ? »
Cartouche ©Nathalie Romang |
Aucun commentaire :
Enregistrer un commentaire