mardi 1 avril 2014

Rencontre avec Aymeric Desharrières 

Saxophoniste et membre du collectif La Générale d’Expérimentation pour nous parler des vaches de Narayana, le 14 février 2014 au Consortium.

Tu pratiques le saxophone depuis quand ?
Depuis des années, parce que c’est joli. Je joue aussi d’autres trucs où on souffle dedans, du clavier et du chant dans d’autres projets.

Depuis quand fais tu partie de la Générale d’Expérimentation ?
Depuis sa création. Avec Nicolas Thirion (directeur de Why Note), on s’est d’abord croisé en tant que musiciens puis je me suis retrouvé dans cette histoire comme tous les autres musiciens de cette mouvance.

Qu’est ce que cela t’apporte de faire partie de La Générale d’Expérimentation ?
De l’ouverture sur cette musique « contemporaine ». Cela va du punk à Tom Johnson.

Justement vous avez repris cette année une composition de Tom Johnson « Les vaches de Narayana », est-ce que tu le connais ?
Je l’ai rencontré. Il est venu à Dijon il y a 2-3 ans pour Why Note. Une de ces compositions m’a beaucoup plu, une super pièce pour percussionniste avec des cloches. C’est Nicolas Thirion qui le connait très bien et qui a proposé qu’on reprenne sa création.

Ton avis sur « les vaches de Narayana » ? 
J’aime beaucoup cette pièce, le fait d’être très linéaire et de jouer tous la même chose. Le concept du calcul du nombre de vaches est  également très drôle. Au final, il y a peu de choses dans cette composition donc c’est un vrai travail sur le son, sur l’instrumentation. Je trouve ça sympa de voir comment faire sonner ce bout de phrase avec tant de personnes. C’est un son vrai.

Comment se sont passées les répétitions ?
Les répétitions étaient cool car la pièce n’est pas difficile. C’est surtout très physique et intense de souffler, pour ma part.



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